Les survêtements Poly Smooth de Needles sont-ils les meilleurs du jeu ?

Rien de tel qu'un survêtement. Incarnation parfaite de la culture des jeunes aux quatre coins du monde, cet humble deux pièces a subi une série d'évolutions saisissantes au fil des ans, chaque décennie bricolant la formule avec plus ou moins de succès.

Or, le monde possède d'innombrables itérations ; beaucoup sont uniques, bien que d'autres suivent un modèle archétypal difficile à battre.

Avec un souci du détail et une compréhension innée de ce qui est nécessaire pour personnaliser le survêtement parfait, Needles, avec ses ensembles Poly Smooth, a conçu l'étalon-or, peut-être même le meilleur du jeu.

Avant de creuser dans Needles, réfléchissons à l'histoire du survêtement. Compris pour être né en 1939 lorsque Le Coq Sportif a créé "le costume du dimanche", mettant son accélération dans le courant dominant en mouvement.

Bien que la graine ait été plantée, elle ne fleurira vraiment que dans les années 60 avec le lancement du premier vêtement d'adidas, l'intemporel survêtement Beckenbaur. Cette offre en deux pièces et trois bandes serait l'étincelle pour déclencher un phénomène culturel qui connaîtrait une évolution intense au cours des décennies suivantes, avec l'élite du hip-hop le propulsant dans les années 80.

Au fur et à mesure de son évolution, de nouvelles fabrications ont été choisies pour rehausser le plan du survêtement. Avec le nylon, les combinaisons shell multicolores de Nike offraient l'excellence tout au long des années 90 et au début des années 2000, adoptées par Supreme jusqu'à aujourd'hui comme base collaborative, tandis que les progrès de la toison ont donné naissance au célèbre (ou tristement célèbre) Tech Fleece.

Bien sûr, les marques haut de gamme ont bien introduit les survêtements dans leur orbite, mais peu ont su le faire avec la finesse des Needles.

Qu'est-ce qui fait le succès de l'offre Poly Smooth de Needles, s'il s'agit d'une ligne proche, presque parfaite, avec l'original adidas Beckenbaur, qui reste un vendeur clé à son époque, tout en l'évoluant pour refléter les goûts de la culture des jeunes japonais avec palettes désirables et une esthétique de luxe.

Construits sur une silhouette vintage, la veste et le pantalon de survêtement Poly Smooth (qui a deux variantes de coupe) ont été affinés pour assurer un col haut, dont de nombreuses marques ont réduit la verticalité, ainsi qu'un corps court qui en fait un modèle polyvalent. pièce de superposition.

L'influence d'adidas est claire - des détails de rayures contrastées sur les manches et le logo papillon Needles un peu riff sur le trèfle.

Une offre sans saison, les survêtements Poly Smooth, contrairement à certaines de leurs alternatives plus ancrées dans l'héritage sportif, sont polyvalents, facilement habillés ou décontractés, avec des coloris épurés et des motifs audacieux adaptés à tous les besoins.

Grâce à cette polyvalence, il est devenu une base collaborative souhaitable, avec KITH, AWGE, END et BEAMS offrant tous les meilleures options de leur catégorie qui jouent sur les points forts des pièces.

Ted Lloyd, assistant d'achat chez SEVENSTORE, a partagé quelques réflexions sur la désirabilité de Needles : "Pour le consommateur de SEVENSTORE, Needles est une marque intemporelle. Du pantalon de survêtement étroit à la chemise en flanelle 7 coupes, Needles propose une nouveauté saisonnière à tous les niveaux qui maintient le consommateur engagé dans le style vintage Americana de la marque.

Un de mes préférés est le pantalon de survêtement étroit, juste en raison de sa polyvalence. Un jour, je les porterai avec des New Balance Made In USA et le lendemain, des penny loafers."

En faisant juste assez pour conserver tout ce qui fait du survêtement classique un ajout parfait à n'importe quelle garde-robe - attitude, coupe, insouciance et silhouette - tout en le composant jusqu'à 100 grâce à des mises à jour de bon goût de la couleur et de la fabrication, Needles a établi une norme d'or.

Sont-ils les meilleurs du jeu ? Intemporel, polyvalent et cool sans effort ? C'est une évidence.